Entreprise
Rénover les portes en bois anciennes
70 000… c’est le nombre d’échoppes situées dans la métropole bordelaise et c’est autant de portes susceptibles d’être rénovées. Redonner toute sa noblesse au bois, dans une ville de pierre, c'est le défi que se sont lancé Jean-Paul Carreau et Laurent Bolzer, deux amoureux du bois, grâce au concept Renoporte qu'ils ont développé afin d'apporter des solutions sur mesure aux propriétaires de portes anciennes, et leur redonner une nouvelle et longue espérance de vie.
Jean-Paul Carreau et Laurent Bolzer
créateurs du concept Renoporte, détenteurs d'un savoir-faire transmissible souhaitent maintenant étendre leur approche à d'autres villes que Bordeaux.
crédit photo : Renoporte
1150 portes rénovées en 6 ans
Grâce à ce concept unique fruit d’une longue expertise, Renoporte est aujourd’hui la seule entreprise Girondine en mesure de proposer aux particuliers, aux architectes et aux gérants d'immeubles une prestation de restauration respectueuse des portes en bois anciennes, tout en gagnant en isolation thermique et phonique, en confort d’utilisation et en sécurité.
Depuis 6 ans, Renoporte a rénové plus de 1150 portes d’entrées en bois, avec un taux de transformation de ses devis de 80% et un taux de satisfaction client de 99,80%, dû notamment aux prix très compétitifs pratiqués, restaurer sa porte d’entrée coûtant environ trois fois moins cher que de la remplacer à l’identique.
Des perspectives de développement importantes
Déposée à l’INPI, la marque Renoporte est, aujourd’hui, reconnue pour la qualité de ses restaurations. Forte de son savoir-faire, elle a créé une licence de marque grâce à laquelle Renoporte vient de se développer en rive droite de Bordeaux et à Bayonne.
Paris, Rouen, Lille, Lyon, Toulouse, Londres, Bruxelles… la société souhaite désormais exporter son concept dans toutes les villes françaises et européennes de plus de 200 000 habitants, riches d’un patrimoine urbain ancien en transmettant ce savoir-faire, grâce à la formation de nouveaux professionnels dispensée par Laurent Bolzer.
(22/03/2018)